À quoi rêvent les méduses ? Compagnie en attendant…

TAPS Laiterie / le mardi 27 juillet à 10h30 et 17h, le mercredi 28 juillet à 10h30

Tarifs : 5€ / 3€ (-15ans et groupes) / dès 3 ans / durée : 30 mn

Un homme est allongé sur une grande feuille de papier blanc. Il dort. Il rêve. Au cours de sa traversée nocturne, il va découvrir tout un univers qui lui révélera des mondes inconnus, enfouis… le temps d’une nuit !

Où sommes-nous quand nous dormons ? Dans l’obscurité, le silence et l’immobilité, parfois nous voyons, nous entendons, nous marchons. Parfois nous dansons ! La nuit nous rêvons. Est-ce que les méduses rêvent aussi ? Rêvent-elles de nous ?

Dans À quoi rêvent les méduses, la compagnie en attendant… parle du sommeil aux tout-petits et à leurs parents, grâce aux illustrations de Mélanie Rutten qui tissent des liens entre livre et spectacle vivant.

Auprès de mon arbre

Médiathèque André Malraux – Centre de l’illustration

Du mardi au samedi de 12h à 19h

Visite libre

De l’arbre millénaire à l’arbre au fond du jardin, les illustrateurs et illustratrices jeunesse sont nombreux.ses à laisser leur inspiration se perdre dans la ramure des arbres de toutes sortes. Admirés, escaladés, explorés, ils sont les lieux de jeux, de mystères et de refuge pour les personnages de ces livres. Et comme nous avons tous et toutes des âmes d’artistes, une œuvre à compléter vous attend au cœur de l’exposition : l’arbre de Camille Meyer -jeune diplômée de la HEAR- n’attend que vous pour se déployer !

Raid botanique

Le Shadock / le mercredi 28 juillet à14h30

Sur inscription : play2code@alsacedigitale.org / 6 participants

Cycle ateliers Play 2 Code Pour mener à bien une enquête, de bons outils sont nécessaires ! Muni d’une tablette, avec l’aide des satellites en orbite et d’une bonne base de données crée de façon collaboratives par de nombreux habitants de la planète, nous allons partir à la recherche des espèces végétales vivant sur la presqu’île. De vrais relevés botaniques qui nourriront une flore en ligne. Un atelier ludique pour apprendre à se servir des outils numériques.

Le saviez-vous ?

La Presqu’île Malraux : en septembre 2000, la fermeture de l’entreprise Seegmuller met un terme définitif à l’activité portuaire du secteur, et laisse un patrimoine qui témoigne de l’histoire industrielle de Strasbourg. La presqu’île Malraux s’est transformée en un lieu de référence en matière d’animation urbaine et de vie culturelle. La médiathèque André Malraux occupe ainsi, depuis 2008, l’un des anciens entrepôts du site. Deux grandes grues, sur le parvis, rappellent l’ancienne activité portuaire et rythment l’espace. La Tour Seegmuller, qui abritait d’anciens silos, est occupée par la Maison universitaire internationale, qui accueille des étudiants étrangers et chercheurs en cycles supérieurs depuis 2016. Inaugurés en septembre 2014, les Dock’s comprennent 68 logements, des bureaux, des commerces mais aussi un espace dédié au numérique et à la culture – le Shadok -, équipement public de la ville de Strasbourg. La recomposition des espaces publics, ainsi que plusieurs constructions nouvelles marquant le paysage (Cinéma UGC, cité de la Musique et de la Danse, Black Swans, siège de l’Institut National des Etudes Territoriales) contribuent également à la création d’une nouvelle centralité.

Vix trio

Parc du Contades / le jeudi 29 juillet à 18h30

Gratuit

Sensible et moderne, Vix Trio se singularise par une approche spontanée du jazz. Enfants des musiques saturées, leurs compositions initient l’auditeur à une quête instrumentale à travers mélodies et dissonances, légèreté et intensité. Au fil d’un piano, parfois espiègle, parfois saisissant, soutenu par une section rythmique complice, se dessinent des paysages ambulants aux multiples visages. En résulte un jazz progressif et pictural : un clair-obscur à écouter les yeux fermés, porté par les scènes imaginaires qui en jaillissent.

Le saviez-vous ?

Le parc du Contades : Appelé au Moyen-âge Schiessrain (champ de tir), ce lieu était destiné à l’entraînement des arbalétriers et des arquebusiers hors de l’enceinte de la ville derrière la porte de Juifs. À partir du 18^e siècle, il devient un lieu d’agrément. La promenade est créée en 1764 par le marquis de Contades qui y fait planter des allées de tilleuls. Des aménagements successifs en feront un parc au 19^e siècle.

Visite Les femmes au cœur de Strasbourg

Le 5^e Lieu

Le dimanche 1^er août à 9h

Tarif : 5€ / durée : 1h30 / à partir de 10 ans

Scientifiques, artistes, écrivaines et tant d’autres encore, explorez la Grande-Île et (re)découvrez le visage de ces femmes illustres, encore trop souvent « ni vues, ni connues ».

Arizona Dream – Ciné plein air

Parc de l’Orangerie / le vendredi 30 juillet dès 18h

Gratuit

L’association Les Films du Spectre, propose les animations d’avant séance :

– à partir de 18h, des animations d’avant séance : jeux en bois, Strasline, acro-yoga, mini parcours sensoriel, disco mobile solaire Genau.

– à partir de 19h, des ateliers création de fanion animé par Creative Vintage, « la papote » (moment d’échange / table ronde)

– à 20h30 Concert Papyros’n.

À la tombée de la nuit, le film Arizona Dream d’Emir Kusturica (1993, 2h22) sera projeté.

Synopsis du film : Axel Blackmar (Johnny Depp) est un jeune pêcheur new yorkais sans grande ambition. Alors qu’il est forcé de retourner dans son Arizona natale pour assister au remariage de son oncle, Axel se fait happer par l’aura de l’excentrique Elaine (Faye Dunaway), de passage dans la concession automobile de son oncle. Axel se retrouve alors ballotté entre les propositions insistantes de son oncle, qui cherche à lui transmettre sa passion pour la vente de Cadillac, les lubies délirantes d’Elaine et de sa fille, et ses propres rêves, alimentés par d’étranges visions mystiques et l’appel des grands espaces. Film culte de l’excentrique réalisateur serbe Emir Kusturica, Arizona Dream fait exception par son incroyable distribution d’acteurs ainsi que par sa B.O. inoubliable, entre autres marquée par la collaboration entre Goran Bergović et Iggy Pop dans In the Death Car.

Le saviez-vous ?

Le pavillon Joséphine du parc de l’orangerie : Victime d’un incendie en 1968, le bâtiment, à l’origine en bois, a été reconstruit à l’identique mais en maçonnerie. Installées en 1910 devant l’entrée du pavillon Joséphine, les deux sphinges encadrant l’entrée datent approximativement de 1745 et proviennent des jardins du château du prêteur royal Klinglin à Illkirch. Aujourd’hui, le pavillon accueille de nombreuses festivités tout au long de l’année.

Attention : Dans le contexte de crise sanitaire liée au COVID-19, un certain nombre d’événements annoncés dans le calendrier et/ou dans nos « coups de cœur »  peuvent être annulés et/ou reportés. Il est important de se renseigner en amont de la date de l’évènement, pour s’assurer de son maintien. Notre souhait est de vous donner une visibilité sur le panorama de la vie culturelle strasbourgeoise !

#5eLieu