Pneu + Bö.Senberg

Lieu

La Grenze - Strasbourg
Strasbourg

Dates

jeudi 27 février 2025 > 20h-23h

Prix

12€ location / 15€ caisse du soir

Présentation

PNEU (math noise rock / Tours)
Est-il encore nécessaire de présenter PNEU? Deux éphèbes à l’intelligence au dessus de la moyenne, jouant chaque fois de leurs baguettes et médiators comme si c’était la dernière, produisant une musique aux apparences complexes et au rendu incroyablement jouissif ! Ils reviennent après 9 ans d’absence.
Qui n’a pas vu un déguisement de banane vous mettre un coup de savate dans la gueule, pris des copeaux de bois dans l’œil, ou un coup de manche de gratte dans le bide, n’a jamais vécu un concert de PNEU. Malgré ce nom à la con, le duo tourangeau formé en 2006 a littéralement retourné le rock, moqué son sérieux, singé ses maniérismes, sublimé son énergie en 3 albums et une poignée de splits.
Hyper-actifs et prolixes, les deux acolytes (Jean Baptiste Geoffroy et Jérôme Vassereau) sont de moult projets, tous plus aventureux les uns que les autres (Tachycardie, Franky Goes to Pointe à Pitre, Gamut, Institutrice, Binidu, La Colonie de Vacances…).
Exit le coupé-décalé, bienvenue aux blasts beats. Finies les mélodies sucrée/salée, bonjour aux traitements électroniques. Puissante et énergique, leur route vers l’EPHAD est semée de grosses montées de pression, de riffs ravageurs, d’une fougue jouissive à s’en décoller la plèvre et l’enjoliveur.
PNEU condense l’essentiel : le groove et l’énergie. Point barre.

Pour les fans de : La Colonie de Vacances, La Jungle, Converge

BÖ.SENBERG (indus minimal tech / Berlin) (La Colonie de Vacances side-project)
BÖ.SENBERG (anciennement nommé César Palace) est le projet solo du batteur français Vincent Redel (ex-Electric Electric) officiant actuellement dans le groupe pharaonique « La Colonie de Vacances ».
BÖ.SENBERG naît d’un mélange de musique minimaliste, de drones cosmiques et de rythmes purs dont les influences s’étendent de la musique contemporaine à la house/techno des années 90 en passant par la scène expérimentale. En résulte un jeu tachycardique, percussif et disciplinaire où Vincent incarne une machine à transer, à danser avec pour tout attirail batterie et pédales d’effets.