Lieu

Opéra national du Rhin
Strasbourg

Dates

dimanche 11 mai 2025 > 17h-19h45 mardi 13 mai 2025 > 20h-22h45 jeudi 15 mai 2025 > 20h-22h45 dimanche 18 mai 2025 > 15h-17h45 mardi 20 mai 2025 > 20h-22h45

Prix

de 6 à 98 euros

Présentation

Comédie en musique en cinq tableaux.
Livret de Paul Knepler et Fritz Löhner.
Créée à l’Opéra de Vienne le 20 janvier 1934.
Version française d’André Mauprey.

Dans le cadre du festival Arsmondo Méditerranée.

Et si la mort m’enlève,
Je veux qu’elle m’achève
Dans un baiser de flamme
Où chantera le mot : aimer ! »

Quand Giuditta se met à chanter l’amour au cabaret Alcazar, le temps suspend son vol. Elle a tout d’un oiseau de paradis ou d’un ange tombé du ciel. Plusieurs hommes ont tenté de l’enfermer dans une cage dorée et de l’attraper avec des rivières de diamants en guise de collets. Sans succès : la belle est aussi jalouse de sa liberté que de ses secrets. Personne ne connaît vraiment son histoire, ni l’oiseleur qui l’a découverte un jour sur une plage et l’a épousée sans lui poser de question, ni même ce beau légionnaire avec lequel elle s’est enfuie en Afrique du Nord.

Qualifiée de « musikalische Komödie » par son auteur, la dernière œuvre de Lehár se rapproche bien plus des grands opéras de Puccini que des comédies musicales américaines, comme en témoigne sa création en grande pompe au Staatsoper de Vienne en 1934. Si Giuditta n’est pas sans rappeler certaines héroïnes lyriques (Carmen, Violetta, Mélisande) et quelques célèbres courtisanes bien réelles (notamment la « Belle Otero », danseuse espagnole devenue l’amante des souverains européens), elle doit beaucoup à Marlène Dietrich et à ses rôles iconiques de meneuse de revue dans les films L’Ange bleu et Morocco. À la tête de l’Orchestre symphonique de Mulhouse, Thomas Rösner dirige la version française de cette envoûtante rareté, dans un spectacle flamboyant de Pierre-André Weitz inspiré par les univers du cirque et du cabaret.

En français
Surtitré en français, allemand

À partir de 10 ans

 

Accès
  • Tram B, C ou F – arrêt Broglie
  • Tram B, C, E ou F – arrêt République
  • Bus 15a ou 72 – arrêt République
  • Parking Opéra-Broglie. Forfait de 1,70 euros, pour les spectateurs de l’Opéra, sur présentation du ticket d’entrée (ouverture du parking 7/7 jours). Renseignements à l’accueil de l’Opéra