20 - 26 décembre 2021 : Tranquillement et à bas bruit

Chaque semaine, retrouvez les coups de cœur du 5e Lieu !

Cette semaine est dédiée à tous ceux pour lesquels l’imaginaire autour de Noël se nourrit d’atmosphères paisibles, de recueillement, de retour aux valeurs fondamentales et qui se désolent à contrario (in vivo) de devoir vivre à ce moment l’acmé de la frénésie et de la charge mentale du monde contemporain.

À tous ceux-là, le 5e Lieu fait la promesse de laisser vierges de nouvelles entrées leurs agendas déjà surchargés, en les invitant à quelques pas de côtés esthétiques à l’écart des foules, de l’agitation… et de l’imagerie dominante.

C’est en effet sans contrainte d’horaire, de date, de réservation, de billetterie, que nos coups de cœurs s’offriront à eux puisque notre choix s’est porté exclusivement un format : celui de l’exposition accessible en entrée libre.

La 22ème édition de Regionale exposera de part et d’autre du Rhin ses curiosités, et particulièrement à Strasbourg, où les commissaires du CEAAC et d’Accélérateur de Particules, en spécialistes, ont débusqué les nouveaux talents de leur édition 2021.

Apollonia vous présentera, au calme de la Robertsau, la rassurante stabilité des carrés empreints de silence de la grande Vera Molnar.

La Chaufferie de la HEAR, terrain des propositions pointues, abritera dans son antre (et pour faire travailler les esprits) le travail d’Hubert Renard, invité des enseignants de la section Art-Objet.

À Stimultania, c’est l’agence MYOP qui sera aux cimaises pour défendre ses auteurs et la photographie contemporaine en noir et blanc.

Enfin le 5e Lieu, vous conviera à une nouvelle exposition temporaire consacrée à un précieux patrimoine mis en image par Simon Woolf: l’atelier de la Fondation de l’Œuvre Notre-Dame.

Prenez votre temps ; tentez de passer le Noël de vos rêves ; belles fêtes à tous !

CRÉATION CONTEMPORAINE

REGIONALE 22 – ARTIST MUST BE BEAUTIFUL

Accélérateur de Particules – Garage COOP

03/12/2021–16/01/2022, du jeudi au dimanche 14-19h (fermé 24/12/2021-01/01/2022 inclus)

Entrée libre

L’exposition présente les œuvres de quatre artistes (Meret Buser, Hannah Cooke, Saskia Edens, Catherin Schöberl) touchant à des sujets sensibles – le respect de la nature et du vivant, l’évolution des modes de vie, le milieu de l’art contemporain – à travers des vidéos, des performances et des installations. Mais avant tout un thème domine et traverse leurs réflexions ; il les rassemble et fait terriblement sens aujourd’hui : la place des femmes. En référence à la performance de Marina Abramovic, le titre de l’exposition ouvre une édition de Regionale résolument féminine… et pourquoi s’en défendre ?

Commissaire : Sophie Kaufenstein

Cliquez ici pour plus d’informations sur le site du Garage Coop : https://garage-coop.org/

CRÉATION CONTEMPORAINE

REGIONALE 22 – À REBOURS, LA VILLE COMPTE

CEAAC hors les murs (dans l’espace public du centre-ville : commerces, fenêtres…)

01/12/2021–24/12/2021

Entrée libre

Intitulé À rebours, la ville compte, le projet développé par la commissaire Andréanne Béguin pour le CEAAC dans le cadre de Regionale 22 est pensé comme une brèche dans la « markétisation » du compte à rebours qu’incarne le calendrier de l’Avent. Trois artistes (Marisabel Arias, Julie Luzoir, Tatjana Stürmer) sont invitées à détourner cette coutume devenue convention commerciale, à subvertir le lissage marchand du temps, à dépasser son caractère impersonnel pour y mettre des anecdotes, des récits, et les visages des saints et saintes d’aujourd’hui.

On pourra y voir un possible écho aux formes calendaires médiévales, à l’instar du Codex Guta-Sintram, manuscrit alsacien du XIIe siècle. Leurs œuvres seront disséminées dans la ville sous des formes diverses : sacs à baguettes de pain distribués dans des boulangeries, panneaux immobiliers accrochés à des fenêtres de Strasbourgeois volontaires, et enfin papier cadeau offert à des commerces partenaires

Commissaire : Andréanne Béguin

Pour accéder au site de Regionale et au contenu de toutes les expositions de l’édition cliquez ici : https://regionale.org

EXPOSITION

VERA MOLNAR – PROMENADES ALEATOIRES

Apollonia

27/11/2021-23/01/2022, du mercredi au vendredi 11-18h, samedi et dimanche 14-18h

Entrée libre

En 1514, Albrecht Dürer, artiste et mathématicien, édita Melencolia I, une œuvre emblématique de la Renaissance nordique qui relève le lien fondamental de la création artistique et de la recherche scientifique.

Dürer, né d’une famille hongroise, séjourna à Colmar et aussi à Strasbourg. Il théorisa la perspective linéaire ouvrant des fenêtres inédites sur la perception et la représentation du monde dans la peinture.

Née en 1924 et d’origine hongroise, Vera Molnar est aujourd’hui considérée comme une artiste exceptionnelle marquant notre époque avec ses avancées dans la peinture concrète et abstraite. Elle s’intéresse notamment dans son œuvre au carré magique représenté dans Melencolia I de Dürer.

En suivant ce fil rouge, elle réinvente à son tour la composition picturale à l’aide des mathématiques, jouant avec les algorithmes et les principes numériques.

Apollonia présente à Strasbourg l’exposition Promenades Aléatoires en mettant l’accent sur les œuvres hommages à Dürer, mais également celles de cycles comme Sainte-Victoire ou Java des carrés.

Suivons les chemins empruntés par Vera Molnar durant plus de 70 ans de productions, sur ses liens avec le cubisme, avec Klee, Monet, Mondrian, Morellet et tant d’autres.

Suivons sa main et son regard qui ont façonné des imaginaires picturaux ouvrant, comme Dürer à son époque, de nouvelles perceptions du monde et de la vie.

Vera Molnar utilise l’ordinateur dans son travail depuis des décennies, sans qu’il ne lui dicte ses choix artistiques pour autant. Ce qu’elle attend de lui, ce sont des variations, une multitude de possibilités en ne se servant des algorithmes que pour pré-visualiser ses idées créatives. Elle fait subtilement varier certains paramètres jusqu’à ce qu’elle soit totalement satisfaite du concept pour ensuite transposer l’œuvre en peinture.

Ses créations, souvent très détaillées et produites à grande échelle, expliquent cette méthode de travail où l’outil informatique lui sert seulement d’assistance.

La machine est vraiment mise au service de sa liberté artistique et non l’inverse.

Vera Molnar : « C’est en 1948 que j’ai trouvé sur une gravure de Dürer – dont le titre est La mélancolie – en haut à droite un tableau carré avec 16 chiffres inscrits dans ce tableau.

Je les ai joints d’une seule ligne en allant de 1 à 16.

Ça a donné un très beau dessin, tout simple, tout symétrique, cristallin, pur, dur, ça m’a beaucoup plu. »

« Sur le moment j’ai dit, c’est un chef d’œuvre mais après ma petite nature m’a dit : « mais on pourrait peut-être essayer comme ceci ou comme cela ou… » […]

Alors je suis revenue sur le carré magique de Dürer et j’ai essayé d’injecter là-dedans du désordre, ou un autre ordre. »

Visitez le site d’Apollonia avec ce lien : www.apollonia-art-exchanges.com

EXPOSITION

HUBERT RENARD – LES DISPARUES

La Chaufferie – HEAR

10/12/2021-16/01/2022, du vendredi au dimanche de 14 à 18h

Entrée libre

Hubert Renard met en place des dispositifs qui interrogent les usages du monde de l’art, révélant les différents aspects de ce que l’on pourrait appeler la littérature d’exposition. Son œuvre consiste, en grande partie, en une documentation (publiée ou non) sous forme de catalogues, affiches, cartons d’invitation, photographies d’expositions, de vernissages, d’installations, articles de presse, enregistrements de conférences, documents épistolaires, etc. consacrée à un artiste dont la réalité est paradoxalement établie et mise en doute par ce dispositif et qui porte le nom d’Hubert Renard. Il utilise aujourd’hui cette archive comme matériau pour continuer ses recherches.

Note d’intention de l’artiste :

L’élaboration du catalogue raisonné d’un artiste permet de faire l’inventaire scientifique de son travail, œuvre par œuvre, et d’en dessiner ainsi des contours nouveaux, reposant moins sur des récits ou des thématiques, mais se construisant à partir des éléments dégagés par l’autopsie du corps de l’œuvre. Ce travail est aussi l’occasion de s’intéresser aux cas épineux des œuvres disparues, qui sont souvent des énigmes révélatrices de l’ontologie de l’œuvre d’art. […]

Je viens de réaliser, avec Michèle Didier, le catalogue raisonné de l’œuvre d’Hubert Renard, sous la direction du célèbre critique d’art Alain Farfall, en collaboration avec Marion Gagneure, ouvrage qui fait l’inventaire de tout le travail de cet artiste actif de 1969 à 1998. Nous avons présenté le livre à la galerie avec une exposition autour de l’idée de la reconstitution d’œuvres disparues. J’ai sélectionné deux œuvres du catalogue raisonné, indiquées comme « perdue » pour l’une et « détruite » pour l’autre, et j’ai fait réaliser par Cloé Beaugrand, restauratrice en meuble d’art, des reconstitutions de ces pièces à partir des archives d’Hubert Renard. Les deux œuvres sont ainsi revenues au monde réel, grâce à une copie (peut-être) identique à l’original. Je travaille actuellement sur une troisième reconstitution particulièrement complexe, puisque non seulement la sculpture a disparue, mais son existence même est sujet à controverses.

Les copies de voyages, les répliques, les reconstitutions sont autant d’artefacts bien présents dans les collections publiques ou privées, et qui posent la question du statut de l’objet d’art et des rapports entre documents et œuvres. Les insolubles questions d’originalité et d’authenticité trouvent ici une sorte de parangon.

Pour la Chaufferie, je voudrais étendre cette réflexion, non plus sous la forme d’œuvres disparues et reconstituées, mais en listant à l’intérieur du catalogue raisonné les œuvres disparues, ou que l’on peut considérer comme tel. Il s’agira de faire, sous forme d’exposition, un catalogue raisonné des œuvres disparues, un sous-catalogue du catalogue existant, et de le mettre en espace.

Une œuvre d’art n’a pas toujours le parcours clair et paisible qu’on lui imagine. Bien que peu étudiée par l’histoire de l’art moderne, la disparition des œuvres est une réalité bien présente et particulièrement riche d’enseignements. L’examen attentif de ces œuvres disparues au cours du XXe siècle montre un grand nombre de disparitions, par abandon, oubli, destruction par l’artiste (volontaire ou non), actes malveillants, vols, spoliations, accidents, etc. On observe aussi régulièrement des réapparitions, souvent à l’occasion d’expositions, soit par reconstitution, soit par des dispositifs documentaires, parfois avec l’aide de l’artiste, ce qui n’est pas sans soulever des questions relatives à l’écriture de l’histoire et à la nature de l’objet d’art : quel statut donner à ces objets ?

Il n’est pas si facile de décider ce qu’est une œuvre disparue. Si les œuvres détruites en font indéniablement partie, qu’en est-il pour une œuvre volée : on ne sait pas qui en est actuellement le possesseur, mais on peut raisonnablement penser qu’elle se trouve bien quelque part (bien que de façon illégitime), et qu’elle n’est donc pas perdue pour tout le monde. Et que faire des œuvres éphémères, que l’artiste a volontairement créées pour un temps donné, celui de l’exposition le plus souvent, et qui sont conçues pour disparaitre ? Enfin, doit-on considérer que la disparition (destruction ou perte) du corps physique de l’œuvre (de l’objet d’art) fait de facto disparaitre l’œuvre elle-même ? Peut-on considérer que son souvenir, ses récits, sa documentation, ses copies, la font vivre au-delà même de son enveloppe matérielle ?

On voit ainsi que l’idée de faire une liste de ces œuvres posera plus de questions qu’elle ne permettra de faire un tri, une catégorie nouvelle, un sous-ensemble clair et indiscutable. Il s’agira pour moi, tout en faisant un travail aux allures scientifique et raisonné, tout en présentant rationnellement une sélection d’œuvres, de faire apparaitre toute l’ambiguïté d’un tel geste, et d’en laisser transparaitre les doutes métaphysiques comme la poésie de l’absence et du vide.

Parallèlement à ce travail qui devrait se réaliser dans la grande salle, sous la forme de reproductions agrandies des pages du livre, organisées en groupes et sous-groupes, dans un accrochage épuré, accompagné simplement d’un film, un diaporama qui égrènera la liste chronologique des œuvres disparues, à la manière d’un hommage aux victimes d’une catastrophe, mais sur un mode ironique – ce travail et sa forme sont encore à définir – la mezzanine sera le lieu d’une petite présentation documentaire de catalogues raisonnés de ma propre collection, qui présentent tous un intérêt particulier dans leur forme ou dans leur contenu.

Activez ce lien pour accéder aux ressources de la HEAR : www.hear.fr

EXPOSITION

BACK TO BLACK – AGENCE MYOP

Stimultania

08/10/2021-09/01/2022, du mercredi au dimanche 14-18h30

Entrée libre

Back to black est une exposition collective réunissant les vingt membres de l’agence MYOP autour de la pratique du noir et blanc et donnant largement la parole aux photographes. L’exposition a été conçue et montrée pour la première fois à l’occasion de MYOP in Arles 2021, Galerie Henri Comte.

« Nous avons vu l’exposition à Arles, cet été 2021, l’été des retrouvailles. Une exposition aux couleurs tamisées, rouge antique et salicorne, ingénieuse avec ses cadres en boîtes de photographies, bavarde et généreuse. Cent photographies noir et blanc, des planches-contact, des tirages originaux, numériques, des photocopies, prises par des héros ubiquistes – les dix-neuf membres de l’agence, laquelle, aujourd’hui, en compte vingt – au Timor oriental, au Guatemala, au Chili, en Tchétchénie et aussi à Paris, en Afghanistan, en Géorgie, en Roumanie, au Québec, au Groenland, en Italie… L’Histoire semblait se jouer là, devant nos yeux, dans ces images noir et blanc.

La thématique, proposée par le commissaire, Olivier Monge, permettait de rassembler des photographes aux pratiques diverses. Une invitation, certes, à parler de technique mais aussi, et surtout, de liberté absolue. Car le noir et blanc, ils l’ont gardé pour eux. Il a été intime, instinctif, libre. Ces mots sont ceux des photographes, incités à se raconter dans une exposition qui déborde de sincérité. « Le noir et blanc entretient une relation particulière avec le récit, avec le mythe, avec l’historicité, plus que l’Histoire » explique Jean Larive dans les bandes sons qui viennent augmenter l’exposition à Strasbourg. « Les choses jaillissent en couleur et retombent en noir et blanc. » Céline Duval

Depuis sa généralisation dans la presse à partir de la fin des années 1980, la photographie en couleur est devenue une norme, renforcée par l’apparition du numérique. Pourtant, nous avons choisi de nous intéresser au « noir » avec une sélection d’images hétéroclites, rassemblées par le lien étroit qu’entretiennent les photographes de MYOP avec cette pratique devenue marginale mais restée essentielle.

Le noir et blanc, par l’indépendance et la liberté de traitement qu’il procure, par la richesse des techniques de tirage, représente un terrain d’expérimentation idéal, souvent très artisanal, souvent solitaire. Le laboratoire est un lieu d’introspection.

Le noir et blanc constitue aussi le creuset de nos références visuelles. Les plus cités sont Josef Koudelka, Walker Evans, Robert Franck, William Klein … Tous en noir et blanc. Dans une agence qui revendique la diversité des écritures, il s’agit d’une culture commune, d’un point de référence, de racines et d’une source d’inspiration contemporaine.

Des textes qui accompagnent cette exposition se dégage un attachement viscéral à une pratique qui permet tour à tour d’offrir un refuge dans l’intime lors de bouleversements de vie, une réappropriation du médium lorsque la lassitude s’installe, un choix fort et ambitieux sur des sujets que les photographes jugent importants pour eux, une manière personnelle de voir différemment.

De la technique de tirage, il en est aussi question : des vintages, des tirages de presse, des contacts, des procédés anciens jusqu’au jet d’encre en Piezography, la technique permet d’aller au plus près du rendu souhaité par l’auteur.

Ainsi cette exposition ne montre pas les « meilleures » images réalisées par les photographes de MYOP mais celles qui révèlent le plus leurs personnalités, leurs parcours, leurs pratiques. Plus que l’analyse d’une technique, elle présente un portrait en creux d’une agence qui fête joyeusement ses 15 ans dans ses « différences collectives » totalement assumées, comme un manifeste : in fine, l’agence MYOP est constituée de photographes que l’engagement et le choix de vie rassemblent.

La pratique du noir et blanc s’avère être un lien qui permet de le raconter, même pour les plus coloristes d’entre nous.

Accédez au site de Stimultania : www.stimultania.org

EXPOSITION

À LA DECOUVERTE D’UN ATELIER DE CATHEDRALE – SIMON WOOLF

5e Lieu

26/11/2021-13/02/2022, du mardi au samedi 11-19h, le dimanche 11-17h

Entrée libre

Le photographe strasbourgeois Stéphan Woelfel alias Simon Woolf a suivi pendant plus d’une année le personnel de la Fondation de l’Œuvre Notre-Dame dans ses deux ateliers, à proximité de la cathédrale et dans le quartier de la Meinau, ainsi que sur la cathédrale de Strasbourg. La taille de pierre, la sculpture, la menuiserie, le dessin, la pose, la forge, la conservation, le sciage, le bardage mais aussi la gestion des collections de la Fondation sont interprétés à travers l’œil et l’objectif de l’artiste. Il a su capter gestes, attitudes et passion et ainsi illustrer la Fondation dans la diversité de ses savoir-faire, inscrits au Patrimoine culturel immatériel de l’Unesco avec 17 ateliers d’Europe en 2020.

Les liens suivants vous mèneront aux sites du 5e Lieu et de la Fondation de L’Œuvre Notre- Dame :

Liens : https://5elieu.strasbourg.eu et https://oeuvre-notre-dame.org

Le saviez-vous ?

L’Œuvre Notre-Dame, avec son atelier permanent, est créée dès le 13e siècle pour gérer, financer et assurer la reconstruction de la cathédrale de Strasbourg. Alors que peu de ces structures ont survécu en Europe, l’institution de Strasbourg poursuit toujours son œuvre et contribue de nos jours (grâce à son patrimoine foncier et immobilier) avec la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC), à l’entretien et à la conservation-restauration du monument.

COVID-19

Attention : Dans le contexte de crise sanitaire liée au COVID-19, un certain nombre d’événements annoncés dans le calendrier et/ou dans nos « coups de cœur »  peuvent être annulés et/ou reportés. Il est important de se renseigner en amont de la date de l’évènement, pour s’assurer de son maintien. Notre souhait est de vous donner une visibilité sur le panorama de la vie culturelle strasbourgeoise !

#5eLieu